Créer ou reprendre une clinique vétérinaire implique de choisir une structure juridique adaptée à son projet, à son mode d’exercice et à son ambition de développement. Le choix du statut n’est pas anodin : il détermine la responsabilité, la fiscalité, la gouvernance et la capacité à s’associer. Tour d’horizon des principales formes existantes.
1. L’exercice individuel : un modèle simple mais risqué
Le vétérinaire peut exercer en entreprise individuelle (EI) ou en entreprise individuelle à responsabilité limitée (EIRL).
C’est le modèle le plus simple sur le plan administratif et comptable. Le praticien exerce en son nom propre, sans distinction entre son patrimoine personnel et professionnel (sauf option EIRL).
➡️ Avantages : simplicité de création, indépendance totale, gestion allégée.
➡️ Inconvénients : responsabilité illimitée, fiscalité à l’impôt sur le revenu, et difficultés à accueillir des associés ou investisseurs.
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